2011-12-22

Manu militari

Pour pouvoir étendre la culture de soja transgénique destinée à nourrir les vaches, poulets, cochons etc., les Indiens sont expulsés d'Amazonie. 70% des cultures de l'homme servent à nourrir des animaux élevés dans des conditions cruelles.




Source : Michel Tarrier -http://www.facebook.com/micheltarrier?ref=ts

Toxicity


En résumé...


A Cow at My Table...


 Cow at My Table explores Western attitudes towards farm animals and meat, and the intense battle between animal advocates and the meat industry to influence the consumer’s mind.
Five years in production took Director Jennifer Abbott across Canada, the US, Australia and New Zealand to meet with the leaders of the animal rights movement, animal welfare advocates as well as spokespeople from livestock industries.
A Cow at My Table inter-cuts these diverse perspectives with archival films, images from modern-day agribusiness and footage of farm animals shot from uncharacteristic vantage points. The result, say critics and programmers, is a documentary that is “brilliant,” “visually smart,” “extremely accomplished” and “extraordinarily compelling and powerful.”
In the words of Toronto’s NOW Magazine film critic Cameron Bailey, “Like all the best documentaries, this film offers more questions than answers.” (Excerpt fromanimalliberationfront.com)
Source et video : http://topdocumentaryfilms.com/a-cow-at-my-table/

Un livre sur les plantes utiles de l'Amazonie met la science à la portée des gens


La FAO l'a diffusé pour marquer la clôture de l'Année internationale des forêts

Foto: ©FAO/Giuseppe Bizzarri
Dans la forêt amazonienne du Brésil, les noix sont une source précieuse de calories, d'huiles et de protéines pour une grande partie de la population rurale et urbaine.
20 décembre, 2011, Rome - Une nouvelle étude de la FAO publiée aujourd'hui montre comment les fruits et les plantes de la forêt amazonienne peuvent être utilisés pour améliorer l'alimentation des gens et leurs moyens de subsistance. Il s'agit d'une publication facile à lire car rédigée dans un langage accessible. Elle sort la science de sa tour d'ivoire au profit de l'action de terrain et la met à la portée du commun des mortels.

L'ouvrage intitulé Arbres fruitiers et plantes utiles dans la vie amazonienne a été produit par la FAO, le Centre de recherche international sur les forêts et Peuple et plantes international (People and Plants International). Il a été dévoilé lors d'une cérémonie à la FAO marquant la clôture de l'Année internationale des forêts.

«Durant l'Année internationale des forêts, nous avons réussi à mettre en évidence les liens étroits entre les peuples et les forêts, ainsi que les nombreux avantages que procurent les forêts si elles sont gérées par les communautés locales de façon durable», a déclaré M. Eduardo Rojas-Briales, Sous-Directeur général de la FAO responsable du Département des forêts.

«Environ 80 pour cent des personnes vivant dans les pays en développement comptent sur les produits forestiers non ligneux tels que les fruits et les plantes médicinales pour leurs besoins nutritionnels et de santé. Ce nouveau livre fournit des informations complètes sur les fruits et les plantes de l'Amazonie, et est un parfait exemple de la façon dont on peut rendre nos connaissances accessibles aux populations pauvres afin qu'elles puissent maximiser les avantages des produits et services forestiers et améliorer leurs moyens de subsistance.

«Tandis que l'Année internationale des forêts touche à sa fin, nos efforts vont se poursuivre pour la promotion d'une gestion durable des forêts et l'importance d'impliquer les communautés forestières dans les initiatives de développement», a ajouté M. Rojas-Briales.

Suite de l'article : http://www.fao.org/news/story/fr/item/117434/icode/

2011-05-02

Arbres et lumières!
















L'
arbre de lumière, conçu par Omar Ivan Huerta Cardoso utilise des techniques de culture hydroponique avec la technologie LED et des cellules solaires.







http://www.yankodesign.com/2010/03/03/light-tree/

Plier, déplier?!

Thomas Heatherwick nous offre un pont des plus pratiques, celui ci se recroqueville afin de laisser passer les bâteaux!! Une fois enroulé, il forme un octogone. Un superbe travail qui s'adapte à la densité de plus en plus grandissante des villes et du besoin de circulation.






http://www.evolo.us/architecture/rolling-bridge-thomas-heatherwick/

2011-04-12

De la pratique du jardinage biologique


Pour beaucoup, cultiver bio signifie simplement ne pas utiliser de produits chimiques. Pourtant ce n'est pas suffisant, le jardinage biologique implique en réalité une approche et une gestion radicalement différente.

Bio ?

Etymologiquement "bio"  (du grec "bios") signifie "vie". Cultiver bio implique donc un respect de toutes les formes de vie en présence : minérales, végétales, microbiennes, animales et humaines. Ce n'est pas là une simple question de principe mais bel et bien une condition de base à un bon équilibre du microenvironnement que constitue un jardin (ou une exploitation agricole).
Les maladies ou autres invasions de "nuisibles" résultent toujours d'un déséquilibre. Ces déséquilibres sont la conséquence directe de la disparition de zones enherbées, des friches, de tas de bois ou de pierres, des mares... Autant de niches écologiques pour des nombreuses espèces animales garantes d'un équilibre naturel.
Ainsi, la Vie, sous toutes ses formes, devrait être au centre des préoccupations de tout jardinier ou agriculteur biologique. Mais qu'en est-il en réalité ?
Le jardinier (même bio) est persuadé qu'un jardin doit être impeccable. Les "mauvaises herbes" (en bio, on préfère le terme "adventices") ou autres ronciers n'ont pas leur place dans son royaume, les mulots, taupes ou autres serpents sont combattus sans relâche, les mares asséchées car source de moustiques... En faisant cela, le jardiner (bio ou non) pense bien faire et est fier de montrer son jardin parfaitement entretenu. En réalité, il détruit complètement ce fragile équilibre naturel, ce qui engendre inévitablement des maladies et attaques parasitaires. Il se voit donc contraint par la suite d'utiliser des produits de traitements. Bien sûr, ces produits peuvent être naturels et autorisés en bio (et c'est évidemment préférable).

Les conséquences de l'utilisation de certains produits autorisés en bio

Pourtant, même d'origine naturelle, certains produits  ne sont pas sans conséquences pour la vie.
Ainsi, les pyrèthres naturels (extrait de fleurs de pyrèthre, plante du genre Chrysanthème), couramment utilisés comme insecticides en jardinage bio, sont certes inoffensifs pour les animaux à sang chaud mais ils sont toxiques pour les poissons et  tous les insectes, y compris les auxiliaires tels que nos précieuses coccinelles (que l'on réintroduit artificiellement par la suite !).De même, la roténone (extraites des racines de légumineuses tropicales),  du fait des ces mêmes toxicités, est aujourd'hui exclue du cahier des charges de l'agriculture biologique mais reste dans les rayons des produits bio destinés aux  jardiniers amateurs...
La bouillie bordelaise, fongicide bien connu, également autorisée en agriculture biologique est également sur le point d'être exclue du cahier des charges de l'AB (dès qu'un autre fongicide naturel efficace sera reconnu) du fait de l'accumulation de cuivres constatée dans les sols. Pourtant, inconscients des conséquences de son utilisation sur la terre (et donc sur la santé), les jardiniers amateurs l'utilisent fréquemment et souvent à des doses supérieures aux doses prescrites.

Les bonnes pratiques

A ces produits, nous préférerons préserver des zones "sauvages" dans le jardin et limiter le désherbage (manuel) aux premières phases de développement des cultures à fort développement  (ces plantes se satisfaisant parfaitement d'un certains enherbement à leurs pieds)  assurant ainsi un équilibre propice au bon développement de nos végétaux et limitant les attaques.
Une population quelconque n'est en effet nuisible que si elle se trouve en quantité supérieure à ce qu'elle devrait ; ce qui n'est jamais le cas dans un jardin (ou une exploitation) ou l'on a pris soin de préserver des zones enherbées, des friches, des tas de bois, une mare... Les populations se régulent alors par elles-mêmes, de la façon la plus naturelle qui soit. Par ailleurs, certaines plantes sauvages peuvent attirer des "nuisibles" et préserver ainsi nos cultures.
J'ai par exemple observé l'été dernier la présence de colonies de pucerons sur des chardons volontairement préservés. Mes cultures sensibles telles que concombres ou fèves en était indemnes, alors que celles de mes collègues en étaient infestés. Au bout de quelques jours, ces colonies de pucerons avaient pratiquement disparues.
L''utilisation préventive de préparation à base de plantes est également recommandée. Les purins d'ortie ou de consoude sont aujourd'hui bien connues pour leurs facultés à renforcer la résistance des plantes aux maladies ou autres attaques parasitaires. La prêle est également relativement efficace en préventif contre le mildiou ou autres maladies cryptogamiques.
Des infusions à base de plantes agissent efficacement comme répulsifs. Ces préparations sont trop nombreuses (car spécifiques à tel ou tel autre insecte) pour être détaillée ici. Je conseille à ce sujet "Soigner le Jardin avec les Plantes" de Philippe Delwiche (édité par Nature et Progrès).

Pour conclure

Contrairement à ce que beaucoup pensent aujourd'hui, l'homme ne domine pas la Nature et ne la dominera jamais. Une pratique intelligente du jardinage intègre cette donnée fondamentale et consiste à accompagner plutôt que de vouloir maîtriser.
Observez et laissez faire la nature, vous serez surpris des résultats.

Sources

Auteur

avatar Gilles
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2761_jardinage_biologique.php

"ON NE REGARDE PAS LES ARBRES EN VILLE !"

L'arbre intervient dans l'amélioration des conditions générales de l'éco-communauté urbaine. Son rôle est multiple : social, psychologique, paysager, politique, etc. L'espace arboré des villes constitue donc un patrimoine économiquement très important. Paradoxalement, nos connaissances scientifiques sur la physiologie des végétaux ligneux* restent très fragmentaires, et il ne nous est pas toujours possible de satisfaire aux questions que se posent les gestionnaires sur l'entretien des arbres (élagage, causes du dépérissement) ou sur les qualités particulières d'une espèce.
Aujourd'hui, nous supposons que certaines essences sont aptes à fixer des métaux lourds, que d'autres retiennent les poussières dans leurs poils épidermiques. Mais nous sommes encore loin de pouvoir dresser un catalogue des capacités des espèces à assainir l'atmosphère urbain.
Afin de connaître les conséquences du milieu urbain sur les ligneux, notre laboratoire aborde le fonctionnement de l'arbre en tant que plante entière grâce à une méthodologie basée sur l'étude des réserves (amidon, sucres solubles). Le stockage de ces réserves est le résultat de l'équilibre entre la photosynthèse* et la consommation pour les fonctions vitales (respiration, croissance, floraison). La quantité et la qualité des réserves sont donc la traduction directe de l'état physiologique de l'arbre. Celui-ci est souvent perturbé par les agressions que subissent les ligneux des villes, mais la réponse de l'arbre à ces contraintes est lente – un arbre atteint par le sel, meurt dix ans après. Il est donc impératif d'intégrer ces facteurs dans les plans de gestion d'une plantation afin de pouvoir avoir une vision à long terme.
Il est aussi important de sensibiliser la population, lui apprendre à regarder – on ne regarde pas les arbres en ville ! La plupart du temps, ils font partie du mobilier urbain – qu'elle réalise que, comme tout être vivant, un arbre naît, vieillit et meurt, qu'une plantation doit être rénovée pour des raisons de sécurité et d'esthétisme et, surtout, pour offrir aux générations à venir des alignements dignes de ce nom.

     Gérard Bory, Directeur du laboratoire de Physiologie de l'Arbre à l'université de Paris 7. Ce laboratoire est le seul en Europe à se consacrer exclusivement à des travaux de recherches sur la biologie, la physiologie et l'écologie de l'arbre en milieu urbain.
Suite de l'article : http://www.fnh.org/francais/doc/en_ligne/foret/dossier1_foret.htm

2011-04-10

Produire des aliments dans des villes plus vertes


L’horticulture urbaine offre des aliments frais, crée des emplois, recycle les déchets




28 september 2010, Rome - 
D'ici 2025, plus de la moitié de la population du monde en développement, estimée à 3,5 milliards d'habitants, vivra dans les villes. Pour les décideurs et les urbanistes des pays pauvres, des villes plus vertes pourraient être le moyen de garantir une alimentation sûre et nutritive, des moyens d'existence durables et des communautés en bonne santé.


Le concept de villes vertes est souvent associé à l'urbanisme dans les pays les plus avancés. Il est toutefois appliqué de manière spécifique, et sa portée sociale et économique est très différente, dans les pays en développement à faible revenu.


A mesure que les villes s'étendent, les précieuses terres arables disparaissent pour faire place aux logements, à l'industrie et aux infrastructures, et les cultures maraîchères sont reléguées de plus en plus loin dans les zones rurales. Les coûts de transport, conditionnement et réfrigération, le mauvais état des routes de campagne et les fortes pertes dues au transport aggravent la pénurie et renchérissent le prix des fruits et légumes sur les marchés urbains.


La nouvelle bombe population "Les villes ont toujours été des lieux d'opportunités, d'emplois et de niveaux de vie améliorés", explique Shivaji Pandey, Directeur de la Division de la production végétale et de la protection des plantes de la FAO. "Mais dans de nombreux pays en développement, la croissance de la population urbaine n'est pas due à l'essor économique mais aux taux élevés de natalité et à l'afflux massif de ruraux cherchant à échapper à la faim, à la pauvreté et à l'insécurité".


D'ici 2020, le pourcentage de population urbaine vivant dans la pauvreté pourrait atteindre 45 pour cent, soit 1,4 milliard d'êtres humains. D'ici là, 85 pour cent des pauvres d'Amérique latine et près de la moitié de ceux d'Afrique et d'Asie seront concentrés dans les villes et les mégapoles.


Ce phénomène, dénommé la nouvelle bombe population est un cauchemar pour la gouvernance: des villes tentaculaires, dégradées et appauvries abritant des taux élevés de groupes vulnérables, exclus de la société, jeunes et sans emploi.


Réinventer le pré communal L'enjeu consiste à détourner l'urbanisation actuelle de son chemin non durable au profit de villes plus vertes qui soient synonymes pour leurs habitants de choix, d'opportunités et d'espoir. Une solution: l'horticulture urbaine et périurbaine, selon la FAO.


Pratiquer l'agriculture dans les villes et alentour n'a rien de nouveau. La cité Inca du Machu Picchu au Pérou comprenait une zone réservée aux habitations et une zone de terrasses aménagées pour une agriculture intensive.


La FAO estime que 130 millions de citadins en Afrique et 230 millions en Amérique latine pratiquent l'agriculture, et principalement l'horticulture, pour nourrir leurs familles ou pour tirer des revenus de la vente de leurs produits.


"L'horticulture urbaine offre un moyen de sortir de la pauvreté", affirme M. Pandey, citant ses frais de démarrage faibles, ses cycles de production courts et ses rendements élevés par rapport au temps de travail, à la superficie et aux besoins d'arrosage.


Les régimes urbains riches en graisses et en sucres bon marché sont responsables de l'augmentation de l'obésité, de l'excès de poids et des maladies chroniques liées à l'alimentation, comme le diabète.


Cultiver des fruits et des légumes, les sources naturelles les plus riches en micronutriments, dans et autour des villes permet d'approvisionner les citadins pauvres en produits frais et nutritifs et améliore leur accès économique à la nourriture.


Aider les jardiniers urbains Au cours des dix dernières années, les gouvernements de vingt pays ont sollicité l'assistance de la FAO pour vaincre les réticences et fournir des incitations, des intrants et une formation aux jardiniers urbains à faible revenuLa FAO a également livré des outils, des semences et une formation dans plus de 30 pays pour créer des milliers de potagers scolaires, un moyen sûr de promouvoir la nutrition infantile.


Des mégapoles en plein essor d'Afrique de l'Ouest et centrale aux bidonvilles de Managua, de Caracas et de Bogotá, la FAO a aidé les gouvernements à promouvoir la culture maraîchère commerciale irriguée dans la périphérie des villes, la création de micro-potagers hydroponiques dans les bidonvilles et des toits végétalisés dans les centres-villes densément peuplés.


En République démocratique du Congo, la FAO a dispensé des conseils sur la régularisation des titres de propriété de jardins cultivés occupant 1 600 hectares, où travaillent 20 000 cultivateurs à plein temps dans cinq villes. Le projet a permis d'introduire des variétés horticoles améliorées, d'installer ou de réhabiliter 40 structures d'irrigation, augmentant de ce fait la disponibilité en eau tout au long de l'année.


Pour garantir la qualité et l'innocuité de la production, 450 associations de cultivateurs ont été formés aux bonnes pratiques agricoles, y compris à l'utilisation d'engrais biologiques et de biopesticides. A travers ses jardins maraîchers, la capitale, Kinshasa, produit aujourd'hui de 75 000 à 85 000 tonnes de légumes par an, qui couvrent 65 pour cent de ses besoins.

© FAO http://www.fao.org/news/story/fr/item/45683/icode/

Biodiversité

La diversité du vivant, sans cesse réévaluée, compte 1.75 million d’espèces répertoriées et entre 3,6 et 15 millions d’espèces encore à découvrir. 12% des 10.000 espèces d’oiseaux sont menacées ou en danger d’extinction immédiate, ainsi que 23% des 4.776 espèces de mammifères, 46% des poissons, un tiers des amphibiens et 70% des plantes évaluées, constate l’Union mondiale pour la nature (UICN) dans son dernier rapport. Chez les mammifères, les 240 primates autres que l’espèce humaine sont en danger et près de la moitié en voie d’extinction. L’Homme est responsable de 99% des menaces qui pèsent sur les espèces. L’UICN estime à 24 le nombre d’espèces menacées en 1975, à 1.000 en 1985 et à 16.306 en 2007, année au cours de laquelle 785 d’entre elles se sont éteintes. La richesse de la biodiversité accroît les chances de la vie sur terre de s’adapter aux changements. Son étude ouvre de nombreuses questions actuellement sans réponse: quels sont les seuils de perte au-delà desquels l'équilibre des écosystèmes est menacé ? Quelle est la résistance des écosystèmes aux interférences humaines? Quelle sera la réaction de la biodiversité face aux changements climatiques ?


suite de l'article : http://www.goodplanet.info/Biodiversite/Biodiversite/Biodiversite/(theme)/268

2011-04-04

les jardins suspendus de New York


La ville de New York s’apprête à ouvrir en juin une première section de sa Highline, une ancienne voie de métro aérien réaménagé en jardin public.
Ce tronçon, construit entre 1929 et 1934 fait en tout plus de deux kilomètres de long et traverse 22 patés de maison. En 1990, il avait été abandonné à la végétation sauvage et semblait voué à la destruction, avant d’être sauvé en 2002 grâce à l’initiative des petits commerces et des habitants de cette zone.
Le projet, qui s’inspire de la “Promenade Plantée” de Paris, proposera très bientôt aux New Yorkais et aux touristes une promenade inédite, serpentant entre les rues de Manhattan à dix mètres du sol.
En plus d’offrir un point de vue inédit sur la métropole américaine, “The Highline” accueillera sur toute sa superficie un jardin botanique. Designé et développé par Piet Oudolf, un paysagiste néerlandais, il promet d’être un oasis de calme qui ne restera pas secret très longtemps.
CREDITS PHOTOS:
© Friends of the Highline / www.thehighline.org






2011-03-30

éTorme!!

Torme
Tour-Dome pour petite métropôle
Rennes/2011
Paul-Eric Schirr-Bonnans architecte
Evolo 2011 Skyscraper Competition
Concours international ouvert, 2ieme prix






©http://www.paulericschirrbonnans.com/index.php?/urbanisme/torme/

Concours Photo SNHF

PARTICIPEZ A L'EDITION 2011 !

Le concours photo de la SNHF est animé par la section Plantes Vivaces.
Il a pour objectif de promouvoir la connaissance et l'utilisation des végétaux par les jardiniers amateurs, leur permettant ainsi de valoriser leur savoir-faire à travers leurs passions : le jardinage et la photographie. Gratuit, il est ouvert à tous les jardiniers amateurs, y compris les personnels des entreprises horticoles et de pépinières, du paysage, des collectivités publiques et privées, résidents en France métropolitaine.




La 3ème édition du concours photo 2011 comporte 2 catégories :

- 1ère catégorie : « Photographier un massif d’arbustes et/ou de plantes vivaces »
- 2ème catégorie : « Photographier le portrait d’un arbuste ou d’une plante vivace »

Pour y participer, la SNHF met à la disposition des candidats, outre le règlement, un bulletin de participation à joindre à l’envoi des photos.
Le lauréat du 1er prix de chacune des catégories recevra un chèque de 250 €. La remise des prix aura lieu en janvier 2012 et donnera lieu à une réception officielle au siège de la SNHF à Paris. La date limite du dépôt ou des envois des photos est fixée au 15 octobre 2011 à minuit.


Concours Photo SNHF

De nouveaux champignons hallucinogènes découverts chez des fourmis-zombis !




Les fourmis aussi peuvent être sous l’influence de champignons hallucinogènes modifiant leur comportement. Quatre nouvelles espèces de ces microorganismes, toxiques pour l’insecte, ont même été découvertes dans la forêt amazonienne.













De nouveaux champignons hallucinogènes découverts chez des fourmis-zombis !

Belles trouvailles!!

Cinq nouvelles espèces et trois autres extrêmement rares ont été trouvées en 2010 dans le Parc national des Écrins. C'est à l'occasion de travaux sur l'évolution de la végétation qu'elles ont été repérées.

L'approche de la biodiversité ne peut plus être uniquement envisagée comme une "quantité" d'espèce présente sur un territoire donné.
Si le nombre d'espèces est un indicateur commode et facilement communicable au grand public, il ne rend que partiellement compte de la complexité et des dynamiques du vivant.
De nombreux travaux scientifiques montrent de plus en plus l'importance à donner aux fonctionnalités écologiques (qu'est-ce qui fait qu'un milieu naturel persiste ou disparaît ; comment une espèce se nourrit-elle, se reproduit-elle et quelles en sont les conséquences pour les autres espèces) et au processus d'évolution (comment les espèces sont arrivées là, comment se sont-elles adaptées ou transformées dans les milieux qu'elles occupent).
C'est à ces activités scientifiques que le Parc national des Ecrins se consacrent de plus en plus, avec la mise en place de protocoles élaborés en partenariat avec la recherche.
Il n'en demeure pas moins que la connaissance du territoire et des espèces qui le constituent sont une base essentielle à tout travail scientifique sérieux.
Dans le cadre d'une étude sur les évolutions de la végétation au regard des évolutions des pratiques agropastorales ou de sylviculture (programme SOPHIE), environ 1700 espèces végétales ont été notées, avec les caractéristiques des milieux dans lesquels elles vivent.
En 2010, ce travail a permis la découverte de 5 espèces nouvelles pour le Parc et 3 extrêmement rares :
2011-02-ranunculus-auricomus- Côté Valbonnais, la fougère Blechnum en épi (Blechnum spicant) a été découverte pour le territoire du parc le 17 août. C'est dans le bois du Fer à Cheval, au-dessus du Pay (commune de Lavaldens) que Pierre Salomez et Bernard dit "Barbu" Nicollet l'ont repérée. Cette espèce, commune en Savoie, se raréfie vers le sud, au point d'être protégée en PACA.
Vers Lavaldens également, une nouvelle station de la Renoncule tête-d'or (Ranunculus auricomus) a été notée par Bernard dit « Barbu » Nicollet et Christophe Albert. C'est la seconde pour le Parc, la première étant connue non loin du col du Lautaret.
Toujours dans ce secteur, la discrète Fétuque lisse (Festuca laevigata subsp. crassifolia) a été trouvée dans une pelouse alpine au-dessus du Périer (Cédric Dentant, Bernard « Barbu » Nicollet et Christophe Albert).
2011-02-coronilla-vaginalis
- Côté Champsaur, c'est la Coronille à stipules engainantes (Coronilla vaginalis) qui a été découverte par Cédric Dentant vers la chapelle St James, à Prapic (commune d'Orcières). Cette petite plante, qui aime les stations chaudes sur calcaire, est présente dans le Dévoluy et les Cerces, mais n'était pas connue dans les Ecrins.
2011-02-euclydium-tenuissimum
- Côté Vallouise, dans le Vallon des Bans, vers Entre-les-Aygues, la Grande Orobanche (Orobanche major) a été trouvée sur la plante qu'elle parasite : la Centaurée scabieuse (Centaurea scabiosa). C'est la première observation dans les Ecrins (Pierre Salomez et Marie-Geneviève Nicolas), bien qu'il existe quelques données anciennes autour (Queyras, Briançonnais, Céüse).
- Enfin, côté Embrunais, une seconde station d'Herbe des Cosaques (Euclydium tenuissimum), a été découverte non loin de la première localitée pour la France de cette espèce, en bord de voie ferrée (Julien Ugo et Laurent Michel).
Plus en altitude, au Lac du Laus, une première station pour le secteur du Scirpe de Hudson (Trichophorum alpinum) a été trouvée en septembre (Mireille Coulon).
Ainsi, même si les découvertes au sein du Parc sont de plus en plus rares pour des groupes naturels bien connus, toutes ces découvertes sont la preuve que la modestie est de rigueur face à la diversité du vivant.

© http://www.ecrins-parcnational.fr/index.php

La stupidité de l'Homme...

Vendredi dernier, Gail Shea, ministre canadienne des Pêches et des Océans, a fixé à 400 000 têtes le quota autorisé de captures de phoques au Groenland. Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) et plusieurs associations de défense des animaux ont vivement critiqué cette décision, qui, selon eux, vise à courtiser les électeurs à l’approche d’une élection fédérale imminente.
70 000 phoques tués en plus par rapport à 2010, c’est ce que prévoient les quotas fixés par Gail Shea. « Encore une fois, la ministre semble complètement déconnectée de la réalité dans le dossier de la chasse commerciale aux phoques, explique Sheryl Fink, la directrice du programme de protection des phoques d’IFAW. Cette augmentation des quotas n’est pas justifiée par les données scientifiques, ni par la demande des marchés. En plus, la majorité des Canadiens s’y oppose. »
L’association dénonce une augmentation des quotas irresponsable et surtout court-termiste, avec une demande mondiale qui reste faible et des bébés phoques menacés par des conditions de glace particulièrement mauvaises. « Il me paraît évident que cette espèce est sérieusement affectée par les changements climatiques, poursuit Sheryl Fink. Les conditions de glace des deux dernières années sont les pires jamais enregistrées selon les données d’Environnement Canada. Le ministère des Pêches a même émis un avis, la semaine dernière, pour avertir le public qu’on pouvait s’attendre à une augmentation des mortalités et du nombre de phoques échoués. »
Pour l’IFAW, le gouvernement soutient artificiellement la chasse aux phoques, ce qui nuit à la réputation du Canada et gaspille l’argent des contribuables. L’année dernière, une étude a même montré que le Canada économiserait 7 millions de dollars par an si elle mettait fin à cette chasse !
Sheryl Fink n’est pas la seule à déplorer cette situation. A la Human Society International au Canada, la directrice Rebecca Aldworth estime que le quota fixé pour cette année est le plus élevé depuis l’imposition, en 1971. Elle dénonce également des intentions politiques régionales du premier ministre, Stephen Harper, à la veille d’élections fédérales.
Pour l’association Fourrure Torture, « la chasse aux phoques commerciale du Canada est le plus important et cruel massacre de mammifères marins sur terre. » Olivier Rafin, le directeur, déplore que « le gouvernement canadien marque une nouvelle fois sa volonté déraisonnée de poursuivre le massacre. »
De son côté Frank Pinhorn, directeur de l’Association canadienne des chasseurs de phoques, a indiqué que les recommandations des scientifiques avaient été respectées, les chiffres suggérés oscillant entre 300 000 et 500 000. L’association s’attend même à une amélioration des marchés, avec des ventes de 120 000 peaux (soit plus du double par rapport à l’an dernier). Depuis 2010, les importations de fourrures issues de la chasse commerciale des phoques sont interdites dans l’Union européenne, qui rejoint ainsi les Etats-Unis, le Mexique et la Croatie.
Les nombreux opposants à la chasse aux phoques se sont réunit dimanche dernier pour une marche unitaire à Montréal dénonçant la barbarie de la chasse aux phoques. Une pétition demandant l’abolition de la chasse aux phoques au Canada été lancée par Fourrure Torture sur www.chasse-aux-phoques.com

©Neoplanète

2011-03-22

"Saugez" moi!


Plantes médicinales : attention à la désinformation !

18/03/2011 - Depuis quelques jours, les boîtes mail s'affolent et saturent d'alertes appelant à sauver la médecine traditionnelle. Vérification faite, la situation est loin d'être aussi alarmante que ne le prétend cet article.
Cette alerte, qui circule en fait depuis des mois, laisse croire que l'on va interdire les plantes médicinales, ce qui n'est pas la réalité. Les évolutions de réglementation visent en fait à harmoniser les procédures entre les médicaments à base de plantes (avec autorisation de mise sur le marché) et les médicaments chimiques. Maladroit, truffé d'erreurs et d'exagérations, cet appel risque d'être contre-productif.
Il met cependant le doigt sur une inflation galopante des outils et procédures réglementaires qui est très préoccupante. Il y a en effet fort à craindre que cette "harmonisation réglementaire" serve de rempart pour réserver le marché de la "santé naturelle" aux seuls grands laboratoires capables de financer les études et les procédures très coûteuses nécessaires pour l'obtention d' AMM (autorisations de mise en marché) . Bien qu'elles soient "allégées" par rapport à celles des médicaments conventionnels, ces procédures aboutiront de fait à l'élimination des petits opérateurs. On peut faire le parallèle avec le problème des PNPP (préparations naturelles peu préoccupantes comme le purin d'ortie) pour lesquelles il est prévu de mettre en place des procédures d'AMM simplifiées calquées sur celles en vigueur pour les pesticides. 
Il faut réglementer pour protéger les consommateurs et limiter les abus. Mais les procédures d'agrément doivent rester raisonnables lorsque les produits sont reconnus comme sans danger.
©Terre vivante
http://www.syndicat-simples.org/actualites/les-plantes-medicinales-bientot-interdites-dans-lue-propagande-desinformation-enjeux-de-pouvoirs-autour-de-herboristerie-en-europe

2011-02-20

OGM!!!Go Vegan


A quelques jours de l'ouverture du Salon de l'agriculture, la justice accepte que France Nature Environnement placarde dans le métro parisien ses affiches contre les OGM, les pesticides et les algues vertes.



La justice a tranché. France Nature Environnement (FNE), fédération regroupant 3.000 associations écologistes, va pouvoir coller du 15 au 21 février dans le métro parisien (Odéon, Saint-Lazare, Montparnasse), les six affiches de sa nouvelle campagne sur les dégâts provoqués selon eux par l'agriculture intensive. Deux organisations représentant les filières porcine et viandes, s'estimant mises en cause, avaient saisi la justice d'une demande d'interdiction en référé de deux visuels. Demandes qui ont été rejetées lundi après-midi.
Il faut dire qu'à quelques jours de l'ouverture du Salon de l'Agriculture, les affiches de FNE sur les trois «fléaux majeurs» que sont la prolifération d'algues vertes, la dangerosité des OGM et des pesticides pour les abeilles, passent mal auprès des agriculteurs.
«Il y a d'autres façons d'ouvrir le dialogue que de taper toujours sur la tête des mêmes», regrette Inaporc, l'interprofession nationale porcine, qui demandait l'interdiction de visuels sur les algues vertes. Le premier met en scène un enfant en train de jouer sur une plage couverte d'algues vertes dont la décomposition «dégage un gaz mortel». Le titre de l'affiche, «Bonnes vacances», contraste avec le sous-titre mettant en cause l'élevage industriel des porcs. Le second visuel montre, lui, un littoral recouvert d'algues vertes avec le message suivant: «Arrêtez vos salades».


«Une campagne orientée contre l'agriculture»



Pour FNE, c'est le fumier issu des élevages de porcs trop nombreux, selon la fédération, qui, drainé jusqu'aux côtes par des affluents, déclenche uneprolifération d'algues vertes. La fédération propose un gel du cheptel et un renforcement du contrôle des épandages.
L'association interprofessionnelle du bétail et des viandes, se dressait quant à elle contre une affiche présentant des tranches de bœuf estampillées «100% naturel» surmontée de l'accusation «Gros menteur ». FNE réclame, en effet, l'étiquetage des viandes issues d'animaux nourris aux OGM. De son côté, Marc Pagès, responsable du secteur bovin, a fait valoir que son secteur avait «une position plutôt favorable à un tel étiquetage».


Une des affiches de la nouvelle campagne de France Nature Environnement (Crédit photo: France Nature Environnement)
Une des affiches de la nouvelle campagne de France Nature Environnement (Crédit photo: France Nature Environnement)


Parmi les affiches qui n'ont pas reçu de demande d'interdiction, l'une des plus marquantes met en scène un homme avec un épi de maïs pointé sur sa tempe en guise de révolver sous le slogan «C'est sans danger». Pour dénoncer la dangerosité des pesticides pour les abeilles, FNE a recours à une affiche aux couleurs jaune et noir du film Kill Bill de Quentin Tarantino avec un slogan détourné en «Kill Bees» (Tuez les abeilles).
Pour Xavier Beulin, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), l'initiative de FNE n'est ni plus ni moins qu'«une campagne choc, caricaturale et clairement orientée contre l'agriculture». Il exprime son «dégoût» face à «une campagne parisienne de dénigrement», assurant avoir «depuis longtemps choisi de dialoguer avec les ONG environnementales».


En finir avec «les images bucoliques»



FNE assure pourtant qu'«il ne s'agit évidemment pas de s'attaquer au monde paysan, mais de dénoncer des pratiques néfastes pour notre environnement». A travers cette campagne provocante destinée au grand public, la fédération écologiste entend en finir avec «les images bucoliques et les discours gentillets» sur le sujet. Autant de constats et de solutions que France Nature Environnement souhaite faire connaître au public mais aussi aux professionnels à travers un véritable «Salon de l'Agriculture off» que la fédération compte tenir prochainement. «Loin des marchands de machines à contraindre la nature !», précise-t-elle.


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/02/14/01016-20110214ARTFIG00708-ecologie-une-campagne-d-affichage-choc-autorisee.php

2011-02-19

2011, l’Année Internationale des Forêts


Les forêts couvrent un tiers des surfaces émergées de la planète ; elles abritent plus de la moitié des espèces terrestres et des centaines de millions d’êtres humains. Elles fournissent une partie au moins des revenus d’une personne sur quatre. Pour les presque 7 milliards que nous sommes, elles fabriquent la nourriture que nous mangeons, l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, les médicaments que nous utilisons.
Pourtant, elles sont mal connues et mal aimées. Et surtout, elles sont en danger.
2011 a été déclarée Année Internationale des Forêts par les Nations Unies. C’est l’occasion de découvrir ou de redécouvrir, de célébrer, de chérir, de raconter, de protéger, d’utiliser plus durablement ces écosystèmes qui sont apparus il y des centaines de millions d’années, avant même les premiers humanoïdes, et que notre espèce menace aujourd’hui.
La destruction des forêts n’est pas une fatalité : dans le monde entier, des hommes et des femmes se battent pour leur sauvegarde. Citoyens, scientifiques, politiques, entrepreneurs nous alertent sur les menaces qui pèsent elles et proposent des alternatives pour les protéger. Cette année est aussi l’occasion de célébrer leurs initiatives, leurs efforts.
A la fondation GoodPlanet, présidée par Yann Arthus-Bertrand, nous œuvrons dans ce sens, au travers de nos programmes de sensibilisation ou du programme Action Carbone qui a entrepris la protection de 510 000 hectares à Madagascar, pour ne citer que lui.
Pour cette année, nous avons voulu en faire encore plus. C’est le sens des différentes initiatives que nous vous invitons à découvrir sur ce site, et que nous avons pensées comme autant d’invitation à mettre en actes les paroles du poète turc Nazim Hikmet, « Vivre seul et libre comme un arbre et fraternellement comme une forêt ».
Ce site a été réalisé avec le soutien de la Fondation Yves Rocher, du Fonds pour l’Environnement Mondial, du Fonds de partenariat pour le carbone forestier, de Firmenich et du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, dont Yann Arthus-Bertrand est ambassadeur de bonne volonté.
http://www.un.org/en/events/iyof2011/

2011-02-12

Natur'Armor

Du papillon qui vole dans notre jardin au requin de 12m qui nage dans les eaux bretonnes, cette nature recèle de richesses insoupçonnées.

Apprendre en s’amusant, en s’émerveillant, en contemplant c’est ce que vous propose le festival Natur’Armor les 18, 19 et 20 février 2011.Cet événement, soutenu par la Fondation Nicolas Hulot et organisé par l’association VivArmor Nature se tiendra à la salle des Ursulines à Lannion.

Les moments de découverte ne manqueront pas. Petits et grands pourront admirer la diversité des coquillages de nos plages, faire connaissance avec le monde fascinant des araignées, faire de son jardin un refuge pour la nature, rencontrer des photographes animaliers, découvrir les raies de Bretagne, apprendre à reconnaître les champignons …

Vous vous posez une question sur la nature ? De nombreuses structures qui agissent pour la préservation de la biodiversité en Bretagne seront présentes pour répondre à toutes vos interrogations.

Et pour ceux qui souhaiteraient aller encore plus loin dans cette découverte de notre patrimoine naturel, des sorties seront organisées pour observer les oiseaux du littoral, la nature en ville, la faune et la flore du bords de mer mais aussi des conférences nature, une soirée consacré à la disparition des forêts, des ateliers ludiques pour les enfants… 

2011-02-08

Biodiversité, génétique et ...Nagoya!

Un séminaire international sur la mise en œuvre effective du protocole concernant l'accès et le partage des avantages liés à l’utilisation des ressources génétiques, adopté à Nagoya, était organisé jeudi 3 février par l’Iddri. Si l’accord pourrait entrer en vigueur dès 2012, de nombreuses incertitudes demeurent quant à l’application concrète de l’accord dans les pays du Nord et du Sud.


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